On s’imaginait rentrer de la maternité dans un bonheur à trois parfait et voilà que l’amour de notre vie pleure sans arrêt, quels que soient les soins et l’amour qu’on essaie de lui prodiguer. Bébé pleure beaucoup? Pas de panique, pas de culpabilité. C’est son langage à lui… Et certains bébés sont plus bavards que d’autres !
Entre rêve et réalité, il y a un océan de pleurs !
Un bébé, ça fait gazou-gazou, ça babille et ça sourit… Certes, mais ces réjouissances viendront un peu plus tard.
Pour l’instant, bébé pleure, tout simplement parce qu’il n’a pas encore de mots pour dire ce qui le gêne ou l’angoisse. Répétons-le : bébé, même heureux, pleure. Alors, on prend sur soi – plus il est petit, plus ses pleurs sont intenses et déchirants – et on répond à son appel, même si on ne le comprend pas toujours très bien. Et même si il n’a pas faim, s’il est changé et qu’il n’a visiblement mal nulle part, on le câline, on lui parle pour répondre aux conversations qu’il engage à travers ses pleurs et on se rassure : plus on répondra à ses sollicitations dans les premiers mois et plus il ira de lui-même vers l’apaisement.
Autour de 6 mois, ses pleurs incessants ne seront qu’un mauvais souvenir et vous aurez appris à décoder ses demande, et donc à les anticiper.
Pour l’instant, bébé pleure, tout simplement parce qu’il n’a pas encore de mots pour dire ce qui le gêne ou l’angoisse. Répétons-le : bébé, même heureux, pleure. Alors, on prend sur soi – plus il est petit, plus ses pleurs sont intenses et déchirants – et on répond à son appel, même si on ne le comprend pas toujours très bien. Et même si il n’a pas faim, s’il est changé et qu’il n’a visiblement mal nulle part, on le câline, on lui parle pour répondre aux conversations qu’il engage à travers ses pleurs et on se rassure : plus on répondra à ses sollicitations dans les premiers mois et plus il ira de lui-même vers l’apaisement.
Autour de 6 mois, ses pleurs incessants ne seront qu’un mauvais souvenir et vous aurez appris à décoder ses demande, et donc à les anticiper.
Bébé pleure: apprendre à décoder les signaux !
A-t-il faim, a-t-il soif, a-t-il chaud ou froid, est-il tout simplement fatigué ? Autant de raisons pour déclencher les pleurs. Si bébé se calme quand vous lui donnez votre doigt, c’est peut-être tout simplement qu’il a besoin de têter.
Si bébé se calme quand vous le bercez, c’est qu’il a encore besoin de cette sensation de bien-être qu’il avait dans votre ventre et qu’il a besoin de vos bras, de votre enveloppement pour se sentir rassuré. Un simple rot pas sorti peut également le gêner. Il peut aussi avoir mal au ventre parce que son système digestif n’est pas mature, qu’il est constipé. Et puis la nuit qui tombe, en fin d’après-midi, est aussi un moment de pleurs intenses pour la plupart des bébés. C’est une façon pour eux de décompresser, de libérer leurs angoisses.
Vous assurer qu’il n’ait mal nulle part, le bercer dans vos bras autant qu’il le faudra et parler doucement avec lui sont autant de petits trucs pour éviter que les pleurs ne redoublent. Et, quoi qu’il arrive, dites-vous que ce n’est pas grave et que ses pleurs, leur fréquence et leur intensité ne sont pas inversement proportionnels à votre capacité à être une bonne mère. Rendez-vous disponible et restez zen : les jours plus sereins, c’est pour bientôt !
Si bébé se calme quand vous le bercez, c’est qu’il a encore besoin de cette sensation de bien-être qu’il avait dans votre ventre et qu’il a besoin de vos bras, de votre enveloppement pour se sentir rassuré. Un simple rot pas sorti peut également le gêner. Il peut aussi avoir mal au ventre parce que son système digestif n’est pas mature, qu’il est constipé. Et puis la nuit qui tombe, en fin d’après-midi, est aussi un moment de pleurs intenses pour la plupart des bébés. C’est une façon pour eux de décompresser, de libérer leurs angoisses.
Vous assurer qu’il n’ait mal nulle part, le bercer dans vos bras autant qu’il le faudra et parler doucement avec lui sont autant de petits trucs pour éviter que les pleurs ne redoublent. Et, quoi qu’il arrive, dites-vous que ce n’est pas grave et que ses pleurs, leur fréquence et leur intensité ne sont pas inversement proportionnels à votre capacité à être une bonne mère. Rendez-vous disponible et restez zen : les jours plus sereins, c’est pour bientôt !
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